« L’accès à l’information pour les personnes en situation de handicap est un droit »
Je suis très sensible à l’accessibilité à l’information des personnes en situation de handicap et notamment des personnes en situation de handicap intellectuel.
Je salue les associations qui défendent les droits des personnes en situation de handicap et notamment dans ma circonscription l’association Droits devant 25.
Le projet de loi relatif aux Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 crée l’obligation d’information de l’emploi de traitement algorithmique sur les images de vidéoprotection.
Via cet amendement, je demande que l’information soit appropriée, adaptée et accessible à toute personne en situation de handicap.
Accélération du nucléaire: la France fait le choix de la souveraineté et de l’indépendance énergétique
Ce projet de loi a pour objectif de faciliter le développement de l’énergie nucléaire afin de réduire notre empreinte carbone.
Il vient compléter la loi accélérant la production d’énergies renouvelables adoptée en novembre 2022 et la stratégie de sobriété énergétique.
Par ce vote à l’Assemblée nationale, la France fait le choix de la souveraineté et de l’indépendance énergétique, àl’inverse de l’Allemagne, qui en faisant le choix de sortir du nucléaire, est contrainte de réactiver 15 centrales à charbon au bilan carbone désastreux.
Pour sortir de cette dépendance à l’énergie fossile, le texte présente diverses mesures visant à accélerer les procédures liées à la construction de nouvelles installations nucléaires :
ACCELERER LES PROJETS DE CONSTRUCTION (Ces mesures s’appliquent aux projets de réacteurs situés à proximité des sites existants)
- Construction de 6 nouveaux réacteurs nucléaires EPR2 ;
- Accélération des études pour la construction de 8 réacteurs supplémentaires ;
- Suppression de la limitation à 50% maximum de la part du nucléaire dans le mix énergétique français ;
- Dispense de permis de construire pour les installations et travaux de création des nouveaux réacteurs nucléaires, la conformité aux règles d’urbanisme sera contrôlée par l’Etat ;
- Réduction des délais d’instruction des travaux pour les parties non-nucléaires (terrassement, clôtures, parkings…).
RENFORCER LA SECURITE NUCLEAIRE
- Sanctions pénales renforcées en cas d’intrusion sur les sites de réacteurs nucléaires ;
- Prise en compte du dérèglement climatique et des enjeux de cybersécurité dans les procédures de contrôle ;
- Information en amont de l’impact des nouvelles installations nucléaires sur leurs territoires auprès des départements et des régions ;
- Modalités de contrôle périodique des réacteurs plus claires pour prolonger les installations nucléaires actuelles.
Permanence de proximité dans les mairies de Boussières et de Franois
À votre rencontre dans les communes !
J’organise, ce vendredi 24 mars, ma deuxième journée de permanence de proximité mensuelle, dans les mairies de Boussières et de Franois.
J’ai à coeur d’entretenir un dialogue direct avec les habitants, les associations, les entreprises et les élus. La proximité ce n’est pas seulement être présent lors des campagnes électorales.
Je reçois sur rendez-vous toutes les personnes qui souhaitent me rencontrer et échanger sur une difficulté personnelle, un texte de loi débattu à l’Assemblée nationale, un projet…
Pour prendre rendez-vous :
laurent.croizier@assemblee-nationale.fr
0980814480
Je suis bien évidemment disponible en dehors de ces créneaux pour une rencontre à ma permanence parlementaire, dans vos locaux ou tout simplement chez vous.
Stationnement à Témis : « Il faut arrêter d’opposer les modes de transport. Il faut arrêter de ne proposer que la contrainte comme unique solution. »
Présent, à leur demande, aux côtés du collectif de salariés de Grupo Antolin et de parents d’étudiants de l’UFR Staps qui dénoncent le manque de places de stationnement à Témis.
Le refus de la maire de Besançon de créer 70 places de parking à proximité de l’entreprise Antolin et la suppression de 50 autres places, soit 120 places au total, rendent le stationnement impossible dans le secteur Témis.
Pourtant, l’entreprise Antolin accueille plus de 450 salariés et l’UFR Staps 1300 étudiants, sans compter les autres entreprises situées à Témis.
Résultat, la municipalité demande à la police municipale de verbaliser les véhicules des salariés et des étudiants qui se rendent sur leur lieu de travail ou à l’Université pour étudier.
Mettre des PV n’est certainement pas la solution. Le manque de pédagogie et d’accompagnement est décidément la marque de fabrique de cette municipalité.
Le constat est identique aux Hauts-Du-Chazal qui accueille notamment la faculté de médecine, des laboratoires de pointe et l’hôpital Minjoz. Les étudiants et le personnel soignant sont eux aussi régulièrement verbalisés.
Je me suis engagé, auprès des salariés et des familles d’étudiants, à demander à la maire de Besançon, plus de tolérance.
Il faut arrêter d’opposer les modes de transport. Il faut arrêter de ne proposer que la contrainte comme unique solution.
Il faut répondre aux besoins de ceux qui n’ont d’autre choix que d’utiliser leur voiture pour se déplacer et dans le même temps proposer des alternatives viables, (transports en commun, pistes cyclables, covoiturage…) à ceux qui le peuvent.
La transition écologique n’a de sens que si elle est partagée par tous. L’acceptabilité des mesures – et donc l’accompagnement de chacun – est centrale si nous voulons relever ce défi collectivement.
Remise des écussons
Remise des écussons aux élèves du baccalauréat métiers de la sécurité du lycée Tristan Bernard.
J’étais présent ce vendredi 17 mars 2023 à la cérémonie de remise des écussons aux élèves du baccalauréat métiers de la sécurité du lycée Tristan Bernard.
Un moment symbolique fort de la vie de ce lycée qui permet de réunir, autour des élèves et des parents, les partenaires de la sécurité civile, privée et militaires qui interviennent au sein de cette formation réputée.
Je remercie l’équipe de direction, les professeurs, le personnel du lycée et les élèves pour l’invitation et l’accueil chaleureux.
Réforme des retraites : « Je souhaite un vote! »
J’ai toujours été clair et transparent sur mes intentions concernant la réforme des retraites.
Oui, je souhaite un vote à l’Assemblée nationale quel qu’en soit le résultat. La nupes a privé les Français d’un débat, je souhaite que les députés puissent enfin exprimer leur position. C’est la transparence que nous devons aux Français.
Oui, je voterai pour la réforme des retraites. Je la voterai tout d’abord par cohérence.
Que vaudrait la parole politique si un député élu ne respectait pas ce sur quoi il s’est engagé durant sa campagne ? Je l’ai fait en connaissance des difficultés du système actuel. Je n’ai pas pour habitude de trahir mes engagements selon la popularité de mes choix.
Je voterai ensuite pour la réforme des retraites par responsabilité.
Même si elle n’est pas la réforme idéale, elle nous garantit que nos enfants auront, eux aussi, une retraite. Je refuse que nous, parents, grands-parents, demandions à nos enfants d’emprunter et de rembourser pour nos retraites sans avoir la certitude d’en avoir une.
Il y avait 12 millions de retraités dans les années 2000, il y aura 30 millions de pensions de retraites à verser à la fin du siècle. Il y a donc bien une réalité démographique et budgétaire. Le système de retraite par répartition protège. Si nous n’arrivons plus à payer les retraites, ce seront les plus fragiles qui en paieront le prix.
Enfin, je voterai pour la réforme car un certain nombre d’avancées, apportées par les discussions au Sénat, viennent réparer des inégalités du système actuel.
J’ai bien conscience qu’elle ne les répare pas toutes, mais ne demandons pas au régime de retraite de régler des problèmes qui relèvent de lois travail qui interviendront par la suite. J’ai toujours défendu la valeur travail, le fait qu’on puisse dignement vivre des revenus de son travail, je m’engagerai sur ces futurs textes de lois en faveur d’une juste répartition de la richesse.
Je suis un député de terrain, je fais des permanences dans les villages, je reçois les citoyens à ma permanence, je me déplace chez eux. J’écoute les craintes, les désaccords. J’ai bien conscience que la réforme demande des efforts et je tiens à ce que ces efforts soient consentis par ceux qui le peuvent. C’est cela l’esprit de solidarité.
Être élu, c’est prendre parfois des décisions impopulaires, par responsabilité. Il y a ce que l’on souhaiterait dans l’absolu, mais il y a aussi un principe de réalité.
Ma boussole a toujours été et sera toujours l’intérêt général. Je pense que voter favorablement cette réforme, même imparfaite, c’est répondre à l’intérêt général.
« De vous à moi » : bilan de huit mois d’action au service des Français et de notre territoire !
Si pour un citoyen être informé est un droit, pour un élu rendre compte est un devoir.
Les habitants m’ont confié le mandat de député depuis désormais huit mois. Huit mois intenses, passionnés, passionnants.
Je le vis dans l’hémicycle à Paris, bien sûr, mais je le vis également intensément ici en circonscription.
Je suis convaincu que c’est par la transparence et la proximité que nous réconcilierons les Français avec la politique.
Afin de vous rendre compte, j’ai le plaisir de vous présenter le bilan (non exhaustif !) de ces 8 mois d’action à votre service.
« Madame la Maire, vous avez des difficultés à entendre que tout ce que vous faîtes n’est pas parfait ! »
Les projets d’aménagement de voiries de la municipalité sont les projets pour lesquels nous recevons beaucoup d’interpellations de la part des Bisontins.
Que cela concerne l’aménagement de voirie du pont de la République, de la rue Midol, de la rue Weiss ou de la rue Beauregard, on ne peut pas dire, en effet, que tout se soit déroulé parfaitement.
L’aménagement de la place du Jura est assez symptomatique de la méthode de la municipalité de Besançon..
Aucun riverain, aucun commerçant, n’a participé à l’inauguration de la place du Jura. La Maire et ses adjoints étaient seuls. Cela aurait dû questionner. Eh bien non, Au contraire, dans la presse Mme la Maire a déclaré : « j’assume un choix politique ».
Tout ce qui est fait n’est pas négatif. Cependant, il faut écouter les habitants qui renvoient le sentiment qu’ils se confrontent à un pouvoir solitaire, directif, et qui pense savoir à leur place ce qui est bon pour eux.
« Nous avons réussi à transformer l’image de l’apprentissage, transformons celle du lycée professionnel »
En commission des affaires culturelles et de l’éducation, j’ai interrogé la Ministre de l’Enseignement et de la Formation professionnelle, Carole Grandjean, au sujet de la future réforme du lycée professionnel.
Nous ignorons encore les grandes lignes de cette réforme alors que les premières mesures doivent voir le jour à la rentrée 2023.
J’ai souhaité connaître les moyens alloués pour notamment, le dédoublement des groupes classes, le temps supplémentaire d’accompagnement aux professeurs et les heures de remises à niveau pour les élèves les plus en difficultés.
Jusqu’alors, les professeurs ont exprimé beaucoup de réticences alors même qu’ils ont une véritable expertise en la matière.
Je suis convaincu que cette réforme doit porter en elle la promesse républicaine de l’ascenseur social et favoriser la réussite professionnelle, condition de l’égalité des chances.
Le lycée professionnel doit devenir une voie de réussite.
« À Planoise, comme partout ailleurs, on doit pouvoir bénéficier des mêmes chances, des mêmes droits. »
À Planoise, comme partout ailleurs, on doit pouvoir bénéficier des mêmes chances, des mêmes droits. Pouvoir grandir, étudier, fonder une famille, habiter, travailler ou vieillir sereinement.
Si j’étais maire de Besançon, mon projet politique pour Planoise se résumerait simplement : faire du quartier, un quartier comme les autres.
C’est en prenant les bonnes propositions d’où qu’elles viennent, et en menant une action commune, que nous réussirons.
Je tiens à saluer l’engagement du préfet du Doubs, M. Jean-François Colombet, sa volonté et sa détermination à bâtir ce pacte d’engagement pour l’émancipation de la jeunesse pour Planoise, auquel les parlementaires, comme tous les autres acteurs, ont bien sûr été associés.
Il faut également saluer l’engagement de la police nationale, sous la direction M. Yves Cellier, qui obtient des résultats en multipliant les arrestations de trafiquants et les saisies.
Sans oublier la police municipale qui tente, malgré des injonctions contradictoires, d’apporter son appui.
Nous avions besoin d’un tel dispositif avec des priorités portant sur l’éducation, l’emploi, la famille, la santé, qui sont des leviers puissants d’émancipation.
C’est d’après la volonté de faire ensemble que j’avais proposé, lors du conseil municipal du 8 décembre dernier, la création d’une commission dédiée transpartisane, proposition restée à ce jour sans réponse.
Ce pacte associe le secteur associatif, très riche et fortement mobilisé pour faire le lien avec les structures et les dispositifs existants.
Il évoque notamment le « ticket culture », qui est une proposition que notre groupe a fait inscrire dans une délibération par voie d’amendement.
Il met également l’accent sur le « aller vers », c’est-à-dire aller au contact direct de la population pour toucher tous les publics.
Depuis le début du mandat, à plusieurs reprises, nous avons proposé à la Maire de Besançon de retravailler le fonctionnement des maisons de quartier pour engager une politique éducative « hors les murs » plus forte et plus ambitieuse.
L’étude obtenue auprès du ministre de l’Intérieur pour créer un nouveau commissariat à Planoise est la démonstration de l’intérêt de travailler collectivement.
Le programme politique de 2020 d’Anne Vignot proposait de créer un commissariat à l’Est de Besançon, je le proposais au cœur de Planoise.
Lors de la visioconférence avec le directeur de cabinet du ministre de l’Intérieur, la maire est venue directement en appui de ma demande auprès du ministre. Un premier point d’étape aura lieu en mars.
Même si nous ne partageons pas les mêmes idées sur un certain nombre de sujets, le résultat est que les choses avancent quand nous travaillons ensemble.
« Je ne comprends pas le choix de la municipalité de refuser que la police municipale sécurise la traversée des 470 enfants du collège Notre-Dame sur le boulevard Léon Blum, pour aller célébrer Noël en l’église Saint-Louis »
Je ne comprends pas le choix de la municipalité de refuser que la police municipale sécurise la traversée des 470 enfants du collège Notre-Dame sur le boulevard Léon Blum, pour aller célébrer Noël en l’église Saint-Louis.
J’ai dû intervenir personnellement auprès de la police nationale pour qu’elle effectue cette mission élémentaire de la police municipale.
Depuis 2020, la police municipale n’a pas de projet de service. Que la municipalité nous dise quelles missions elle entend confier à la police municipale.
On ne peut pas d’un côté demander plus de policiers nationaux sur le terrain pour combattre les trafics de drogue, la grande délinquance, les cambriolages, et de l’autre refuser que la police municipale effectue cette tâche simple.
Je vous invite à écouter la réponse déconcertante de l’Adjoint à la sécurité dans la vidéo.
« Le manque de foncier nous fait aujourd’hui courir le risque de passer à côté d’opportunités, donc de créations d’emplois et de rentrées fiscales, qui nous donneraient des marges de manœuvres pour mener d’autres politiques. »
Le manque de foncier nous fait aujourd’hui courir le risque de passer à côté d’opportunités, donc de créations d’emplois et de rentrées fiscales, qui nous donneraient des marges de manœuvres pour mener d’autres politiques.
C’est la raison pour laquelle j’observe avec beaucoup d’attention les budgets en direction de l’attractivité et du développement économique, et notamment pour le déploiement de nouvelles zones d’activités économiques.
J’ai bien conscience que ce n’est pas simple et qu’il existe des délais incompressibles. Mais il faut que les zones de Marchaux-Chaudefontaine, Saint-Vit Champs Chevaux, Pouilley-Pelousey, Saône Cheneau Blond sortent de terre et puissent enfin accueillir des entreprises.
On entend souvent ici la tentation d’augmenter la fiscalité des entreprises. La France est déjà championne du monde ou presque de la fiscalité. Augmenter la fiscalité, c’est prendre le risque de ralentir les créations d’emplois et de nouvelles richesses.
Augmenter les recettes passe soit par l’augmentation des taux de fiscalité, soit par l’augmentation de l’assiette, c’est-à-dire l’accroissement du nombre d’entreprises sur lesquelles s’appliquent les taux.
A titre de comparaison, en 2022, l’impôt sur les sociétés a rapporté 62 milliards d’euros à l’État. C’est le montant le plus élevé de l’histoire. Et pourtant, nous avons le taux le plus bas de l’histoire.
Chaque emploi créé, c’est autant de cotisations, d’impôts ou de taxes qui alimentent les caisses de l’État ou les budgets des collectivités.
Le village de Rennes sur Loue fait appel à la générosité des habitants pour soutenir la rénovation de leur pont communal.
Le village de Rennes sur Loue fait appel à la générosité des habitants pour soutenir la rénovation de leur pont communal.
Le pont de Rennes sur Loue est un beau monument de notre patrimoine local et rural et un édifice essentiel pour l’activité des agriculteurs du secteur.
Il nécessite aujourd’hui des travaux de rénovation importants pour le sécuriser et lui permettre de continuer d’assurer sa fonction de trait d’union entre les deux rives de la Loue.
Le projet est conséquent pour la commune, qui fait appel aux donateurs pour compléter les subventions de l’État et du Département.
La Fondation du Patrimoine soutient ce projet en proposant de faire un don, majoré par la Fondation elle-même et la Région.
Pour soutenir Rennes sur Loue et leur projet : https://www.fondation-patrimoine.org/les-projets/pont-sur-la-loue-a-rennes-sur-loue?fbclid=IwAR2_Jm74jLv_GichqWtBlFdU7r88YgNJmzJ3svQx_cSefaPjzrZVhEysu7c
Journée internationale des droits des femmes
Depuis 1982 en France, le 8 mars est la journée internationale des droits des femmes, elle nous rappelle la nécessité de mobilisation pour l’égalité entre les femmes et les hommes.
L’Assemblée nationale rend hommage aux femmes qui luttent pour leurs droits et leurs libertés partout dans le monde.
Réussite, Accompagnement social, citoyen et à la scolarité
La réussite, l’accompagnement social, citoyen et à la scolarité au cœur des actions de l’association PARI.
Créée en 1981, l’association PARI sait compter sur l’engagement quotidien de près de 80 bénévoles dont la motivation est de remédier aux inégalités au nom de valeurs humanistes, républicaines et laïques.
PARI fait partie des associations importantes dans le quartier Planoise.
977 parents et enfants sont adhérents de l’association.
105 élèves, 186 collégiens, 157 lycéens bénéficient d’accompagnement à la scolarité et 54 personnes non francophones suivent des cours de FLE (Français Langue Étrangère) au sein de l’association.
Le projet de l’association est orienté vers :
- l’accompagnement à la scolarité ;
- l’accompagnement des familles et des habitants ;
- l’ouverture culturelle et citoyenne.
Je remercie Philippe Sarrazin, Président de l’association, M. Alain Pugin, Vice-président et ancien Président de l’association, M. François Angiulli, Directeur de l’association pour leur accueil et pour la qualité des échanges.
Inauguration de la cour d’honneur Paulette Guinchard, dans l’ancien hôpital Saint-Jacques
Samedi matin, nous inaugurions la cour d’honneur Paulette Guinchard dans l’ancien hôpital Saint-Jacques.
Une juste reconnaissance pour une femme à l’engagement reconnu de tous. Elle fit beaucoup pour Besançon et son territoire et pour la cause des personnes âgées. Son humanisme et sa force de conviction forçaient le respect.
On peut regretter la présence d’une « coquille » sur la plaque commémorative. J’espère que la municipalité la remplacera le plus tôt possible.
« Jamais nous ne resterons muets devant les idéologies nauséabondes des partis extrémistes et populistes »
Jamais nous ne resterons muets devant les idéologies nauséabondes des partis extrémistes et populistes. RN et LFI sont et seront toujours infréquentables. Nous les condamnons, nous les combattrons !
Victor Hugo disait « La République affirme le droit et impose le devoir ».
La démocratie, ce n’est ni la loi du plus fort, ni la loi du plus violent ! En démocratie, on ne peut pas impunément insulter, menacer, tenir des propos racistes ou violent !
Les élus Renaissance MoDem Horizons apportent leur soutien à madame Vignot suite aux propos haineux dont elle a été victime. Nous soutiendrons toutes les plaintes déposées.
Ce climat de violence, ce mépris des règles démocratiques, cette société de haine prônée par les partis extrémistes, d’extrême droite comme d’extrême gauche, nous les condamnons, nous les combattrons.
Jamais nous ne resterons muets devant les idéologies nauséabondes des partis extrémistes et populistes. RN et LFI sont et seront toujours infréquentables !
Nous savons que l’extrémisme se nourrit des crises et l’hystérisation des débats publics participe à ce climat délétère.
Le renoncement à la violence, l’exigence d’un débat public digne est au fondement de la démocratie, c’est ce qui fait de nous une civilisation.
Retour devant des élèves
Retour devant des élèves de 3ème au collège Notre-Dame Saint-Jean.
C’était un plaisir de me tenir face à des collégiens de l’établissement Notre-Dame de Besançon.
Le rôle du député est aussi d’intervenir dans les classes pour échanger avec les futurs citoyens sur des sujets tels que : la fonction de député, la fabrique de la loi, l’Assemblée nationale, les symboles de la République…
Je remercie l’ensemble des collégiens pour ce moment d’échange et l’équipe enseignante pour l’invitation et surtout pour l’accueil.
« Le Salon de l’Agriculture est l’occasion de mettre en avant les talents de nos régions et départements et de soutenir nos agriculteurs, éleveurs et producteurs. »
Première étape avec le Ministre de l’agriculture Marc Fesneau pour échanger sur la question de la production et de la souveraineté alimentaire.
Suite avec le Concours national du cheval comtois en compagnie du Président de la Chambre d’agriculture du Doubs, Philippe Monnet.
Visite des stands de la région Bourgogne-Franche-Comté et échanges avec Arnaud Gaillot, Président des jeunes agriculteurs de Franche-Comté et Jean François Nicolet, représentant de la filière Saucisses de Morteau et Montbéliard.
Arrêt au stand d’Intercéréales pour saluer notamment Éric Bonnefoy, producteur céréalier à Mercey-le-Grand et le groupe LU, dont l’usine se trouve à Besançon, autour de Cécile Merlin, Directrice des affaires publiques.
Fin de journée aux côtés des députés démocrates et de François Bayrou.
« Qui oublie son passé se condamne à le revivre »
Très heureux d’être à l’initiative, avec mon collègue député Charles de Courson, de la représentation « Un homme libre, Léonel de Moustier, 39/45 » du Théâtre de la Clairière de Besançon au sein même de l’Assemblée nationale à Paris.
Léonel de Moustier, Président du Conseil général et député du Doubs élu en 1928, a marqué l’histoire comme l’un des députés qui a refusé de voter les pleins pouvoirs au Maréchal Pétain le 10 juillet 1940 et a rejoint la résistance.
Mort en déportation en 1945, il était le grand-père maternel de M. Charles de Courson.
Je suis fier que la figure historique de Léonel de Moustier ait pu être représentée à l’Assemblée nationale, devant les jeunes du Service National Universel (SNU), en présence de la Secrétaire d’État à la Jeunesse Sarah El Haïry et de la Présidente de l’Assemblée nationale.
Je salue le travail formidable d’écriture et de mise en scène de Pierre Louis et de ses comédiens.
De réelles avancées pour réduire le démarchage téléphonique abusif
Depuis le 1er mars 2023, le démarchage téléphonique est interdit les week-ends, les jours fériés, avant 10 h, après 20 h, entre 13 h et 14 h.
Les consommateurs ne pourront pas être sollicités plus de quatre fois par mois par le même professionnel ou par une personne agissant pour son compte.
Si le consommateur refuse le démarchage lors de la conversation, il ne pourra pas être recontacté avant l’expiration d’une période de soixante jours.
La violation de ces règles est sanctionnée de 75 000 euros d’amende pour une personne physique et 375 000 euros pour une personne morale.
Enfin un dispositif qui renforce la protection de la vie privée face au harcèlement téléphonique.
Don de plasma : un enjeu de souveraineté sanitaire européen
J’ai eu plaisir à participer à la première conférence de presse régionale de l’établissement français du sang à Besançon sur le don de plasma.
Cette conférence de presse avait vocation à alerter sur l’enjeu de souveraineté sanitaire du don de plasma. Le plasma est utilisé à produire des médicaments dérivés du sang.
Pierre Tiberghien, Président de l’European Blood Alliance, a souligné que la France dépend à 65% de médicaments fabriqués à partir de plasma collecté aux Etats-Unis. Il y a donc urgence à développer la collecte en France dont le modèle éthique est basé sur le bénévolat.
Le Professeur Limat, Président de la Commission d’Établissement au CHU de Besançon, indique que 2000 patients, au CHU de Besançon, reçoivent ces médicaments qui ne sont pas substituables.
L’Établissement français du sang, par la voix de son directeur Christophe Besiers, a affiché son ambition de prélever davantage de plasma pour couvrir 50% des besoins français contre 35% actuellement.
Pour cela, il faut plus de donneurs.
Où donner son plasma ? À la maison du don de L’Établissement français du sang au 8 rue du Dr Jean-François Xavier Girod, à Besançon et aux horaires suivants :
- Lundi, mardi, mercredi et vendredi : de 08h30 à 17h00 ;
- Jeudi : de 11h30 à 20h00 ;
- Samedi : de 08h00 à 12h00.