- 2025
- janvier
Carl Frascaro quitte la présidence de Besançon Foot et laisse la place à Sami Fhima
De joueur, entraîneur, bénévole, à président de club, Carl Frascaro s’est consacré pendant de nombreuses années à la réussite de l’emblématique Besançon Football, représenté en national 3 et qui comprend près de 600 licenciés.
En 2022, moins d’un an après un premier départ, il n’avait pas hésité à revenir à la présidence du club, alors dans une mauvaise passe.
Je tiens à saluer sa passion et son immense dévouement pour le club et pour le football. J’adresse mes vœux de réussite à Sami Fhima, son successeur à la tête de Besançon Foot.
« Contrairement à l’actuelle municipalité, j’ai beaucoup de mal à me réjouir des difficultés quotidiennes des habitants »
Depuis 2020, les problèmes de circulation à Besançon se sont aggravés.
C’est le résultat d’un sous-dimensionnement des infrastructures, d’un manque d’alternatives à la voiture individuelle mais aussi d’une politique du « toujours plus de contraintes » avec des centaines de suppression de places de stationnement, des aménagements irréfléchis, des changements de sens de circulation et des suppressions de voies.
Il ne faut pas s’étonner qu’aux heures de pointe, la ville de Besançon soit complètement saturée.
Ce qu’il faut à Besançon, c’est moins d’idéologie, plus de bon sens, de pragmatisme et d’écoute des habitants.
Il faut que les écologistes comprennent que tout le monde ne peut pas se passer de voiture. Les artisans, les salariés des entreprises, les professionnels de santé, les personnes âgées, les familles… Tous ont besoin que nous travaillons sur toutes les mobilités, sans les opposer.
Il est important de répondre aux besoins de ceux qui n’ont pas d’autre choix que d’utiliser leur voiture, tout en proposant des alternatives à la voiture individuelle.
Quelques-unes des propositions que nous portons avec Nathalie Bouvet au conseil municipal, malheureusement sans que la municipalité ne s’en saisisisse.
-Refonte totale du plan de circulation de Besançon qui tienne compte de toutes les mobilités, automobiles, transports collectifs, cycles, piétons.
-Investissement dans le maillage du réseau Ginko à Besançon et dans le Grand Besançon pour davantage de liens entre les communes et les quartiers bisontins, notamment les quartiers non desservis par le tram.
-Identifier les itinéraires prioritaires, sécuriser et rendre cohérents les aménagements cyclables
-Travailler sur l’offre ferroviaire entre Mamirolle-Saône, Les Auxons et Saint-Vit.
-Développer et faciliter le covoiturage
…
Soutien à Terre comtoise après l’incendie déclaré à Dannemarie-sur-Crète
J’apporte mon soutien à Terre Comtoise et ses salariés suite à l’incendie qui s’est déclaré sur le site de la coopérative agricole, Terre comtoise, à Dannemarie-sur-Crète.
Mes remerciements à Sébastien Perrin, maire de la commune, qui a donné l’alerte après avoir aperçu des fumées s’échapper de la structure.
Mes remerciements aux 33 aux pompiers, aux forces de l’ordre, et aux salariés du Lycée Granvelle qui se sont mobilisés pour circonscrire l’incendie et limiter au maximum les dégâts.
Reconnaissance envers les artisans boulangers et pâtissiers et leurs savoir-faire
Visite chez Alexandre Figard dans sa boulangerie « La Gourmandise » de la rue de la Grette à Besançon.
Alexandre Figard est un fervent défenseur des bons produits et du savoir-faire artisanal. Il a remporté en 2011 le titre de meilleur boulanger de France.
Merci à Rabia, apprentie au sein de la boulangerie qui m’a expliqué comment elle prépare les belles galettes que l’on retrouve en vitrine.
Je veux adresser ma reconnaissance aux artisans boulangers et pâtissiers français, qui œuvrent chaque jour d’arrache-pied pour régaler nos papilles.
La période des voeux est une savoureuse occasion de les soutenir, avec la dégustation de la traditionnelle galette des rois.
Pour ma part, en bon franc-comtois c’est galette comtoise !
Invitation à la présentation de mes vœux
Mesdames, Messieurs,
J’ai le plaisir de vous convier à la présentation de mes vœux pour 2025, et ainsi célébrer ensemble l’année qui vient.
Elle se tiendra samedi 18 janvier, à 10h00, à la salle polyvalente de Lantenne-Vertière, 1 rue du Charmot.
Merci de confirmer votre présence par mail à laurent.croizier@assemblee-nationale.fr ou en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/93MErN8DiqGJ5zqP7
Au plaisir de vous y retrouver.
Vidéoprotection : Anne Vignot confirme avoir menti, mais prenons de la hauteur
Quand un responsable politique ment publiquement, la vérité finit toujours par remonter à la surface, d’une façon ou d’une autre…
Dans une longue explication dans les colonnes de l’Est Républicain, Anne Vignot tente de contredire mes informations factuelles et vérifiables selon lesquelles elle n’a déposé aucun dossier de demande de financement auprès de l’État pour l’installation de caméras de vidéoprotection.
Madame Vignot avait en effet rapporté dans une émission de France 5 ( à retrouver ici : https://urlr.me/G5b9Sx ), que le ministre de l’Intérieur n’avait pas respecté son engagement de financer 5 caméras de vidéo-protection pour Besançon.
Des lignes et des lignes de justification… pour finalement se prendre les pieds dans le tapis et confirmer qu’elle avait menti à la télévision nationale.
Elle déclare : « Les dossiers de financement sont déposés une fois les caméras installées. Pour installer des caméras, il faut avoir réalisé des études de faisabilité, puis engager des travaux, puis obtenir une autorisation préalable de la Préfecture. Cette longue procédure est en cours actuellement. ».
Mes informations étaient donc justes, Anne Vignot n’a pas pu se voir refuser le financement de l’État, puisqu’elle n’a déposé aucun dossier de demande.
Mais peut-être a-t-elle lu dans sa boule de cristal que la future réponse à sa future demande serait négative…
Au-delà de la polémique politicienne provoquée par la maire de Besançon, j’appelle la municipalité à affronter la réalité, à écouter les habitants et à changer de braquet en matière de politique de sécurité.
Si toutefois Madame Vignot finissait par déposer un dossier d’aide financière au titre du FIPDR (fonds interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation), je suis à sa disposition pour l’accompagner et soutenir la demande de la ville de Besançon auprès des services de l’État.
Visite des entrepôts du groupe Système U à Saint-Vit
À l’invitation du directeur, j’ai visité la nouvelle extension des entrepôts Système U de Saint-Vit accompagné de Pascal Routhier, maire de Saint-Vit, et de son directeur général des services, Julien Morel.
Système U connaît une formidable croissance de son activité depuis plusieurs années. À Saint-Vit, 90 000 colis sont préparés chaque jour pour être envoyés dans les magasins U de la région.
La société logistique des magasins U a investi 20 millions d’euros pour étendre son entrepôt sur 15 000m2, créer un nouveau parking avec ombrières photovoltaïques, un poste de garde. Cette extension permettra de desservir les 200 magasins de la région, contribuant ainsi à l’économie locale et à l’emploi.
Les effectifs seront progressivement portés à 300 CDI à l’horizon 2028, contre 232 aujourd’hui. Depuis 2016, les effectifs de l’entrepôt de Saint-Vit connaissent un accroissement de l’ordre de 34%.
Lors de ma visite, nous avons évoqué les enjeux de recrutement en local et de mobilité des salariés.
Merci à Florian Chemy, directeur de la Zone EST des entrepôts U Logistique, Lionel Caron, directeur de Site de l’entrepôt U Logistique à Saint-Vit, Olivier Duprez, associé du Super U de Pouilley-les-Vignes, Devecey et Ornans, pour la visite et nos échanges.
Visite des maires de Burgille, Sauvagney, Osselle-Routelle et Thoraise
Avant la reprise des travaux parlementaires à l’Assemblée nationale la semaine prochaine, je profite de ce début d’année pour multiplier les rencontres sur le terrain.
Merci à Thierry Decosterd, maire de Burgille, Pascal Ducret, maire de Sauvagney, Anne Olszak, maire d’Osselle-Routelle et ses adjoints, mon suppléant Jean-Paul Michaud, maire de Thoraise pour nos échanges.
Une façon d’être pleinement connecté avec la réalité et les besoins des habitants de ma circonscription.
« La réalité est que la maire écologiste de Besançon refuse, par idéologie, de s’engager pleinement en faveur de la sécurité des Bisontins »
Je suis abasourdi par les propos de Madame Vignot dans l’émission “C Dans l’Air” diffusée sur France 5, le 4 janvier 2025, affirmant que l’État n’avait pas financé l’installation des 5 caméras de vidéoprotection demandées par la ville de Besançon.
Elle met ainsi en cause la parole du ministre de l’Intérieur de l’époque, qui s’était engagé en février 2024, lors d’un déplacement à Besançon, à financer 50 nouvelles caméras de vidéoprotection pour notre ville.
Tout le monde se souvient de la vive passe d’armes entre le ministre de l’intérieur Gérald Darmanin et la maire de Besançon lors de sa visite à Besançon, refusant la proposition des 50 caméras devant des habitants du quartier Planoise acquis à la proposition du ministre.
Après vérification, la réalité est qu’aucun dossier n’a été déposé auprès des services de l’État en 2024 pour ces 5 caméras. C’est factuel et vérifiable.
Le double discours d’Anne Vignot et ses arrangements troublants avec la réalité interpellent.
La réalité, est que la maire écologiste de Besançon refuse par idéologie de s’engager pleinement en faveur de la sécurité des Bisontins.
La réalité, est que depuis 4 ans, j’appelle la municipalité à sortir du laxisme et changer de braquet en matière de politique de sécurité.
Nos propositions sont systématiquement repoussées :
– Mener un plan ambitieux d’installation de caméras de vidéoprotection aux endroits clés, aux entrées et aux sorties de ville et dans les zones sensibles, pour mieux lutter contre les incivilités, la délinquance et la criminalité
– Recruter les 16 policiers municipaux manquants depuis 2020
– Armer la police municipale
– Créer une brigade de soirée au sein de la police municipale au service des bisontins
Vivement l’alternance !
Hommage aux victimes des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher
Nous étions réunis aujourd’hui sur l’Esplanade des droits de l’Homme de Besançon pour commémorer les victimes des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher, tués lâchement il y a 10 ans par la barbarie islamiste.
Chacun se souvient où il se trouvait lors de ces évènements terribles.
Aux victimes, à ces vies fauchées, ces histoires brisées, nous leur devons que la France continue d’être ce pays des libertés où chacun a le droit d’être et de penser le monde.
À Cabu, Wolinski, Charb, Tignous, Honoré, Bernard Maris, Elsa Cayat, Frédéric Boisseau, Franck Brinsolaro, Ahmed Merabet, Mustapha Ourrad, Michel Renaud, Clarissa Jean-Philippe, Philippe Braham, Yohan Cohen, Yoav Hattab, François-Michel Saada : nous ne vous oublions pas. Depuis 2015, le combat pour nos valeurs n’a pas cessé.
À tous les policiers, pompiers, secouristes, personnels de santé, services des collectivités et de l’État qui ont été mobilisés au cours de ces moments sombres : encore merci.
L’adjoint à la sécurité de Besançon refuse de sécuriser la traversée du boulevard de 470 élèves du collège Notre-Dame allant fêter Noël !
Avant 2020, la police municipale sécurisait la traversée du boulevard Blum pour les 470 élèves du collège Notre-Dame allant célébrer Noël.
Depuis l’élection de cette majorité, la demande a systématiquement été refusée par l’adjoint à la sécurité.
Les professeurs, les parents d’élèves, la direction ont pourtant simplement besoin du soutien de quelques policiers municipaux pour une quinzaine de minutes à l’aller puis au retour.
Alors qu’elle a d’autres missions plus importantes à effectuer, je suis contraint, depuis 3 ans, de solliciter l’intervention de la Police nationale pour une tâche qui relève pourtant de la compétence de la police municipale !
Je remercie la police nationale d’avoir toujours répondu présente.
Compte tenu du danger, cette décision de l’équipe Vignot est difficilement compréhensible. Elle l’est d’autant plus après la lecture de la réponse de l’adjoint : « je ne peux répondre favorablement à votre demande. Les effectifs de police municipale ne peuvent se concentrer sur un seul établissement car ils doivent pourvoir intervenir pour des situations urgentes en cas de besoin. ».
A l’écoute des propos d’autres élus, je crains, en réalité, d’une décision non assumée, en raison du statut privé du collège Notre-Dame.
Assurer la sécurité d’enfants, c’est pourtant bien servir l’intérêt général !
Cette majorité municipale sert-elle, d’ailleurs, l’intérêt général ?
« Cette visite sur le terrain, dès le 2 janvier, témoigne de notre engagement aux côtés de nos agriculteurs »
J’ai eu le plaisir d’accompagner aujourd’hui la ministre de l’Agriculture Annie Genevard dans sa visite de l’exploitation de Nicolas Girard à Saint-Vit.
Nicolas Girard incarne la nouvelle génération d’agriculteurs qui font vivre nos territoires. Son exploitation de polyculture-élevage représente bien la diversité de l’agriculture du Doubs, au-delà de la seule production laitière.
Avec 130 heures de travail par semaine à deux, l’engagement de Nicolas Girard nous rappelle l’immense investissement que demande ce métier. Si nous voulons, encore, à l’avenir, des agriculteurs en France, si nous voulons encore manger Français, la question du revenu des agriculteurs est centrale.
Nous avons évoqué l’importance cruciale du renouvellement des générations dans l’agriculture. Dans le Doubs, nous sommes fiers de notre dynamisme en la matière. Cependant, nous devons simplifier les démarches administratives pour faciliter l’installation des jeunes agriculteurs. La ministre a souligné son engagement à libérer la profession des complexités inutiles, notamment à travers le contrôle administratif unique.
La souveraineté alimentaire est un autre enjeu majeur. Nous ne pouvons pas accepter que la moitié des fruits et légumes ou des poulets consommés en France viennent de l’étranger. La ministre a réaffirmé son soutien à l’élevage qui nécessite des mesures fortes pour se redresser. Elle a également rappelé l’opposition de la France au traité du Mercosur et la nécessité de réguler les importations pour protéger nos producteurs.
La stabilité et la visibilité sont essentielles pour nos agriculteurs. Nous avons besoin d’un budget et d’une loi d’orientation agricole votés rapidement. J’alerte sur une nouvelle censure qui aurait des répercussions particulièrement graves.
Cette visite a été riche en échanges constructifs avec la Chambre d’agriculture, les Jeunes agriculteurs du Doubs, la FDSEA du Doubs, la Confédération paysanne et la Coordination rurale.
Je remercie chaleureusement Nicolas Girard pour son accueil, la ministre pour sa visite sur la circonscription et son engagement en faveur de l’agriculture française.
Je reste pleinement mobilisé pour défendre les intérêts de nos agriculteurs et assurer l’avenir d’une agriculture française forte et diversifiée.